Je souhaite profiter de la Journée du Patrimoine pour manifester mon existence et évoquer le souvenir de l'Institut d'Etudes Astrologiques que j'ai dirigé pendant 33 ans à Nantes.Suite à un accident de santé (un AVC) je suis dans l'obligation de cesser mon activité.

J'ai tout simplement envie de dire que la transmission du savoir astrologique a une valeur sociale et culturelle. Il faut préserver cet ensemble de connaissances pour les générations futures car c'est une des plus belles formulations des rapports de l'homme avec l'univers. Et dans un moment ou les équilibres eco-systémiques sont très fragilisés il est important de prendre conscience de l'intéret de cette discipline pour resserrer notre lien avec la nature (le cycle saisonnier, fondement du zodiaque occidental et l'alternance jour-nuit en rapport avec l'ascendant des astrologues).

La notion de patrimoine ne doit pas s'arrêter aux monuments historiques. Elle concerne aussi la tradition vivante et les pratiques sociales qui se transmettent de générations en générations. L'astrologie est un patrimoine immatériel. Elle a servi de support à notre organisation sociétale.

Les sept jours de la semaine en sont un témoignage :lundi - jour de la Lune, mardi - jour de Mars, mercredi - jour de Mercure, jeudi - jour de Jupiter, vendredi - jour de Vénus, samedi - jour de Saturne et dimanche - jour du Soleil.

On s'est inspiré du ciel pour créer de l'ordre sur terre et organiser nos ryrhmes collectifs :la fête de Noel (étymologiquement nouveau soleil) en rapport avec le solstice d'hiver et les jours qui vont commencer à rallonger, la fête de Paques et l'agneau pascal en rapport avec le Bélier, etc ... 

Citoyens de l'univers, ne laissez pas mourir l'astrologie. L'astrologie doit être considérée comme une culture vivante. Elle mérite d'être respectée et acceptée comme une science humaine à part entière.

Vous pouvez donc avoir des renseignements sur cette nouvelle formule en cliquant sur le lien ci dessous :

http://www.astropsychologie.org/archives/2016/10/19/34459598.html